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18/07/2012

Un poème chaud "... ma vulve humide ne demande qu’à..."

La déclaration d’amour

-          Maya, dit-il doucement, cela fait longtemps que tu me regardes avec des vers luisants dans tes yeux de gazelle effrontée, que tu m’adresses des signes de sympathie et, je crois d’encouragement. Les pointes aigues de tes seins sont des lumières dans la nuit de mon désir ; mon pénis se dresse dès que je pense à toi, allongé sur ma natte solitaire. Mes bourses tièdes sont gonflées d’une semence fertile, qui ne demande qu’à se répandre en toi par la porte du plaisir si tu consens à l’ouvrir pour moi, et ma bouche se dessèche dans l’attente de ta langue et de la caresse de ton souffle. Tel un taureau en rut, tel un éléphant aux reins puissant, je te saillirai toute la nuit si tu veux bien. Le veux-tu ?

(…) elle répondit d’une voix qui fit naître une subite chaleur au creux des reins du jeune chasseur.

-          J’ai souvent rêvé de tes mains effleurant mes seins et il m’arrive de me réveiller au milieu de la nuit, croyant te sentir à mes côtés. Ton pénis est un arbre aux solides racines, qu’aucun vent ne saurait abattre, et ma vulve humide ne demande qu’à l’accueillir entre ses lèvres brûlantes. Que ta semence me comble et me ravisse ! Que ta langue épouse la mienne ! Que nos regards demeurent à jamais rivés dans la même direction ! Oui : je souhaite, je désire, je veux que tu me montes des heures durant, tel l’infatigable rhinocéros, tel le vivace singe rouge, tel le viril éléphant !  

 

Il n’y a pas que

Sur les bancs publics, bancs publics [que]

Les amoureux ont des gueules bien sympathiques.

Jimmy Guieu, l’écrivain de science-fiction, a imaginé cette déclaration d’amour publique de deux primitifs. Il adorait les extra-terrestres primitifs et les décrivait accueillants, accueillantes surtout. Malgré leur peau bleue ses héros terriens ne crachaient pas dessus, surtout pour leur empressement à accomplir les taches domestiques, entre autres. Cette fois-ci, ce sont deux terriens primitifs qu’il a mis en scène.

 

 

 

Ami lecteur, tu vas me dire : « Comment, toi, Pierre Otchick, tu lis du Jimmy Guieu ? » Je vous recommande tout particulièrement sa conception de XXIVème siècle, ses héros, business men à la recherche de planètes inconnues à coloniser… Quelle imagination, n’est-ce pas ? Tout le monde ne peut pas s’appeler Ursula Leguin!

 

page[1]. Les desseins de Mère Nature sont impénétrables : o

 

Eh oui, je dévore tout ce qui me tombe sous la main. Cela me donne une excellente idée des terriens. Et je suis tombé sur cette n peut trouver une petite fleur sur un terrain quelconque.

 



[1] L’offensive des Frotegs, éd Vaugirard, p 57.

 

Pierre Otchick.

Poèmes d’un E.T. libertin et autres auteurs sur

http://www.libertins.libertaires.sitew.com/#Page_2.B



[1] L’offensive des Frotegs, éd Vaugirard, p 57.

 

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