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14/08/2012

Celles qui aimaient jouer aux cartes II

Et si on se reposait un peu ? Que diriez-vous d’un petit retour en enfance ? De quelques petits  culs  nus ? Allez, on va retrouver nos coquines et leur  jeu de cartes et … de petites culottes. Si vous avez manqué le début ou si vous voulez vous rafraichir la mémoire – vous serez excusé, c’était le 11 mars – cliquez ici.


Celles qui aimaient jouer aux cartes (suite)

Et nous gagnâmes la partie suivante. J’avais quand même plus de chance que Toni, mais c’est Armel qui avait coupé et savoir que j’allais m’affronter à deux couches était plutôt décevant. Il me fallait une compensation. Je fis glisser le caleçon pour découvrir la  première couche : un Petit Bateau, comme sa sœur. Elle avait légèrement écarté les cuisses pour me faciliter le travail  - je vous ai dit qu’elle était un petit peu enveloppée – et j’en profitais pour glisser rapidement ma main entre les deux culottes Elle n’eut pas le temps de m’en empêcher et ma main se trouva prise dans un étau qui m’interdisait tout mouvement. Enfin presque. Si je ne pouvais plus baisser le caleçon, mon index et mon pouce étaient en contact avec le Petit Bateau. Contact bien agréable. Je bougeai un peu en faisant semblant de me dégager et j’en profitai pour accentuer la pression de mes deux doigts. L’étau se resserra. Ma pression augmenta,  agrémentée d’un léger mouvement de va-et-vient, mouvement rendu possible par  - l’enveloppe » qui entourait ses cuisses.

Le statut quo dura de très longues secondes et donna le temps à mon index de creuser un sillon dans le petit Bateau, de me rendre compte que le tissu devenait humide. Ces quelques secondes me parurent une éternité de bonheur. Mais quelle ne fut pas ma surprise quand je sentis l'étau se desserrer progressivement et ma main retrouver toute sa liberté entre deux cuisses bien écartées. Bonheur décuplé ! Mon index agrandissait le sillon, pressait, allait et venait d’un mouvement discret mais sur. Je levais la tête. Armel me regardait, la bouche entrouverte, le souffle court. Une nouvelle éternité s’installa. Nous étions seuls au monde. Ce simple petit mouvement des cuisses - je suis sur que Toni et Chantal n’ont rien vu – m’avait bouleversé. Non seulement il avait rendu ma main maitresse de la situation, mais il était lourd de sens : Armel m’acceptait, elle s’ouvrait à moi. Son regard le confirmait : elle se donnait, s’offrant à mes explorations, m’offrant son plaisir. Ce n’était pas seulement une connivence, c’était déjà une union. J’étais transporté. Non seulement mon sexe se durcirait à me faire mal, mais mon cœur explosait de gratitude. Oui, le cerveau est surement la zone érogène la plus puissante.

-          Eh bien, tu l’enlèves ce caleçon ?

C’était Chantal qui nous ramenait sur terre.

Les parties se suivirent avec des moments de joie et d’autres de déception : les culottes descendaient, pour le grand bonheur de Toni qui avait un peu plus de chance, et remontaient. Un petit changement quand même, je demandai à Chantal de remplacer le Petit-Bateau par la culotte brodée. Elle s’exécuta de bonne grâce.  J’eu l’impression qu’elle n’attendait que cela. Tout changea quand j’eu une main terrible, avec une longue à trèfle. C’était à moi de commencer. Je choisi ‘tout atout’ et, prenant les devants je demandai :

-          On n’a pas décidé du gage si un camp était capot. Moi je pense que les filles devraient monter toutes les deux sur la table pour qu’on leur enlève leur culotte.

-          Et si c’est les garçons, on leur enlève tout : short et caleçon. Normal : un capot, il faut marquer ça !

Alea jacta est. Nous fûmes bien obligés d’accepter : l’enjeu valait la chandelle et j’imaginais déjà les deux filles sur la table. J’y mis quand même une condition.

-          D’accord mais les filles n’ont plus le droit de rabaisser leurs jupes : elle les attache dans la ceinture.

-          J’ai pas de jupe, ironisa Chantal.

-          Joue pas sur les  mots : tu attaches le bas de ta robe dans ta ceinture.

Et nous les mîmes capot.

Le spectacle valait le voyage. Aujourd’hui, où la mode est au string et consiste à en montrer le plus possible, on a complètement oublié le plaisir de mettre en valeur, de suggérer. C’était exactement le rôle du caleçon de Chantal : il était suffisamment épais pour cacher,   suffisamment ajouré pour laisser entrevoir la raie des fesses, le duvet clair de la toison. Il était suffisamment long pour cacher les fesses, suffisamment court pour laisser apparaître leur chute. Bien serré à la taille, il en relevait la finesse et moulait le rebondissement des fesses, rebondissement digne d’une beauté africaine. Il s’élargissait ensuite et permettait donc, pour un spectateur situé en contrebas – et c’était justement notre cas – une vue inoubliable sur la naissance – ou la chute, comme vous voulez – des deux adorables rondeurs.

-          Que tu es belle !

Je crois que l’ai répété plusieurs fois, au point de la faire rougir.

-          Alors, tu l’enlèves ?

C’était Armel qui m’arrachait à ma contemplation : elle ne voulait pas être toute seule avec avoir le cul nu.

Après le plaisir des yeux ce fut celui des mains et elles se baladèrent, ostensiblement. Plus d’hypocrisie. Maintenant cela faisait partie de la règle du jeu avec l’accord tacite des deux préposées. Cette fois-ci c’était Chantal qui faisait l’objet de ma régalade et après l’avoir bien explorée je lui fis lever le pied pour retirer son adorable caleçon de dentelle.

-          Eh, c’est pas dans le contrat !

-          J’ai dit ‘enlever les culottes’ et pas baisser !

-          Exact, je suis témoin et vous avez accepté.

-          J’ai pas fait attention.

-          Tant pis !

Elle s’exécuta et je pus entrevoir un bref instant un petit coin caché de son anatomie, coin que j’avais déjà caressé. Mais voir les deux petits bourrelets couverts de duvet presque blond, c’était autre chose !

La partie reprit son cours normal, enfin presque : Chantal remit son slip de dentelle et le coup d’après c’était à notre tour d’être capots. Eh oui, la vie est ainsi faite !

…/…

 

À suivre…

Et comme d’habitude, si vous voulez connaitre la fin de l’histoire, il suffit de la demander ici, en commentaire. Bonne nuit, faites de beaux rêves.

Pierre Otchik.

 

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