Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

15/05/2011

D.S.K. obsédé sexuel ?

 

Journal d’un E.T. libertin

La nouvelle fait l’effet d’une bombe : séquestration, tentative de viol ! Ma pauv’ dame ! Il serait même parti en coup de vent de son hôtel, en oubliant des affaires personnelles ! Quelle histoire ! A qui le dites-vous !  On n’a pas fini d’en d’entendre. Et les journalistes vont surenchérir de commentaires, pour cacher le fait qu’ils ne savent rien et que nous ne saurons jamais la vérité : c’est sa parole contre la sienne ! Alors, tant qu’on y est,  moi aussi je vais ajouter  mon grain de sel.

Je vais d’abord vous faire une confidence, j’ai plutôt une sympathie pour les frasques de notre bonhomme. Enfin un homme normal, un faible devant la chair. Je ne suis pas seul à penser que de tels hommes me paraissent plus aptes à gérer les affaires publiques que des dogmatiques ou des surhommes. Mais là il y aurait agression, atteinte à la liberté. Cela ne va plus. Des agressions sexuelles, et des agressions supposées, il y en a malheureusement tous les jours ! Et personne ne s’en préoccupe, personne pour dire que dans une société plus saine il y en aurait beaucoup moins ! Mais là, vous vous rendez compte : il est probablement candidat à la candidature suprême ! Et l’on fait monter la mayonnaise. Pendant ce temps la, on ne parle pas de la Lybie qui s’enlise dans la guerre civile, de la Syrie et de l’intervention de l’ONU pour… demander une commission d’enquête ! On ne parle surtout pas de l’éventuel programme du candidat. Cette élection atteignait déjà des sommets d’aberration. On était dans une politique de séduction et non plus de conviction, où les idées s’effacent devant les hommes, où la démocratie se réduit à donner plein pouvoir à un homme sur sa bonne gueule, où le programme se réduit à « Porsche ou scooter ?». Je ne pensais pas que l’on pouvait descendre plus bas. Mais si, maintenant on est en dessous de la ceinture ! Alors, ne me parlez pas de souffrance au travail ou de chômage : c’est pas excitant !

Les commentaires sont fermés.