Gentilles coquines, help ! II

Figurez-vous que je me suis fait agresser, injurier – gentiment, comme d’habitude, j’exagère - par  quelques une d’entre vous et même par un copain : « Tu veux rivaliser avec Nostradamus pour le caractère sibyllin de ton poème. Tu crois qu’en rentrant du boulot on a envie de se casser la tête pour te comprendre. On fait déjà un sacré effort pour aller sur ton blog. C’est notre B.A. quotidienne (ou presque) de citoyen. N’en demande pas plus !  Pitié, soit plus claire ! »

O.K. Je vais faire un effort. En attendant, je vous fais une traduction.

Je croyais que des inconnues coquines

Allaient profiter du train

Et réclamer la fin

En restant anonymes…

J’espérais que quelques unes allaient demander la fin de Celles qui aimaient jouer aux cartes, en utilisant un pseudonyme pour épargner leur pudeur. N’ayant aucun retour, je leur demandais, qu’elles soient nues ou habillées (Vêtues de lin/ Ou bien de rien), de prendre le chemin de mon blog et de mettre un commentaire demandant la fin de l’histoire! Les coquins ont aussi le droit, à défaut du devoir, de commenter.

C’est tout !

Pierre Otchick