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27/06/2012

La Birmanie, ce n’est pas fini !

C'EST LE MOMENT DE CONSTRUIRE
LA JUSTICE AU MYANMAR !
« Un prisonnier d’opinion est un prisonnier de trop. »
C’est par ces mots que Aung San Suu Kyi recevait enfin le 16 juin 2012 le prix Nobel de la Paix 1991, après 20 années d’enfermement et d’isolement. Cette défenseure acharnée des libertés dénonçait sans relâche les arrestations arbitraires, les tortures. Elle a fait du respect de la dignité humaine son combat. Depuis, des centaines de prisonniers politiques ont été libérés. Mais l’opacité des pratiques des autorités nationales empêche encore de connaitre les chiffres exacts des prisonniers restants et de leur assurer des procès justes et équitables. C’est le moment d’exiger des mesures concrètes pour la transparence et la justice au Myanmar !
Je signe
 
En mai 2012, pour la première fois depuis 9 ans, des chercheurs d’Amnesty International ont pu se rendre au Myanmar et enquêter. Les progrès dans le pays sont indéniables et l’avenir est plein d’espoir mais aussi de défis pour que les réformes entamées aboutissent de façon effective.
Depuis mai 2011, plus de 650 prisonniers politiques ont été libérés au Myanmar. On estime néanmoins qu’il en reste encore des centaines dans les prisons du régime birman. Le manque de transparence des autorités nationales empêche de connaitre les chiffres exacts. Face à cette situation, Amnesty International demande la mise en place, avec l’assistance des Nations unies, d’un mécanisme visant à réétudier les dossiers des prisonniers et à leur assurer un véritable accès à la justice.
« Je voudrais remercier chacun d’entre vous pour tout ce que vous avez fait et, je le sais, ce que vous continuerez à faire pour nous aider à obtenir la liberté, la sécurité et les droits humains. Merci. »
Aung San Suu Kyi aux militants d’Amnesty International. juin 2012.
Je vous remercie pour votre mobilisation.

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