07/09/2012
Télérama a vraiment viré sa cuti II
À moins que ce soit ses lecteurs… ou les deux ! Jugez-en par vous-même. Le courrier du lecteur du n° 3269 (p 20) entre à fond dans notre débat. Je cite.
La terre est trop petite VI
[…] la crise n’en est pas une, puisqu’elle dure Plutôt qu’une crise, c’est une sorte de malaise lancinant dû à l’antagonisme de deux pensées : l’une qui croit et qui veut à tout prix la poursuite du progrès dans sa forme devenue irréaliste des Trente Glorieuses (croissance de la production, de la consommation – et même de la démographie) ; l’autre qui a pris conscience de la petitesse de la terre et de la fin de la croissance, et qui, inconsciemment, n’est pas dupe de sa croyance. […]. La crise disparaitra toute seule quand le patient aura pris conscience de sa vanité et accompagnera de son plein gré l’inévitable décroissance. Il lui restera alors à inventer un système économique qui préserve l’emploi sans croissance.
Michel Morel – Caen.
C’est moi qui est souligné la dernière phrase. À part ça… no comment.
Pierre Otchick.
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