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02/02/2013

Jouir aujourd’hui.

Carpe diem ! C’est ce que j’ai pensé en lisant les poèmes de Jérôme de Valois1. Ils tombaient comme un cheveu sur la soupe mais, entre nous, y a-t-il une loi qui interdit des commentaires hors sujet ? De toute façon, s’il y en avait une, je vous inviterais à ne pas la respecter. Ce brave Jérôme avait envie de nous faire lire ses poèmes, il nous les a envoyés et j’ai passé un bon moment à les lire. Alors, que demande le peuple ? À mon tour de faire un commentaire sur les commentaires.

 

J’ai bien aimé les métaphores du premier. On voit qu’il joue avec la musique du mot sans trop s’occuper du sens. On frise le surréalisme. J’ai été dérouté par la fluidité du rythme : césure décalée, enjambements…. qui rendent la lecture à haute voix difficile. Mais, Mère Naturel (je ne vais pas dire Dieu) que c'est beau. Bon je me suis laissé aller à jouer les professeurs… à la retraite ! Pourquoi pas ? J’ai le droit de me faire plaisir, moi aussi.

 

En lisant beauté d’hiver, j’ai été ému et pas seulement par la beauté plastique du vers … ému par celle de la beauté que j’imaginais. J’ai d’autant plus apprécié la chute.

 

Alors, amis lecteurs, à votre tour ! Faites vous plaisir en envoyant un petit poème, tout chaud sorti de votre cœur, à l’état brut de démoulage, sans rien polir. Faites nous plaisir en nous l’envoyant et je le mettrai sur mon site. Allez, à vos claviers (ou tablettes) !

 

Pierre Otchick, votre E.T. libertin.

1 Commentaires à ma note du mercredi 30 janvier ; «  Ni Dieu, ni maître »

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