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18/04/2013

À bas le mariage civil

Mariage II

Ce n’est pas moi qui pousse ce cri. Ce sont deux élus néerlandais. Leur déclaration a été relayée par le Courrier international du 20 décembre 2012 qui présente un dossier complet intitulé « Mariage, non merci ! » qui éclaire bien la problématique. Je vous l’avais dit : le XXIème siècle est le nouveau siècle des lumières.

Vous avez du le comprendre, je suis pour l’amour libre, comme le disait Fourier. Ce qui n’empêche pas de faire la fête pour sceller une nouvelle union. Je ne suis pas contre les rites. Ils renforcent le sens de notre vie. Mais l’union libre suppose toutefois une maturité que beaucoup de terriens n’ont pas et donc de nombreuses étapes intermédiaires. La première serait que l’état cesse de se mêler de la sphère privée. Par exemple, de quel droit le mariage religieux est-il interdit s’il n’y a pas de mariage civil ? Je ne peux donc pas résister à la tentation de vous relayer à mon tour les réflexions de ces deux élus.

Le mariage doit redevenir ce qu’il a été : un lien chargé de sens et de symbolisme entre des personnes qui s’aiment. Celles-ci n’ont à rendre des comptes concernant cet amour qu’à leur conjoint (et à Dieu, si tel est leur chois). La mariage, en tant que rituel symbolique, n’a pas à être une exception par à d’autres symboles rituels. (…)

Le seul rôle des autorités serait de surveiller une coutume désagréable, que l’on rencontre dans certains milieux religieux, qui consiste à conclure des mariages forcés. (…)

IL sied à un état moderne en 2012 de ne plus prendre part à la confirmation symbolique de l’amour que se témoignent les gens. Le régime fiscal n’en sera que meilleur et plus juste.

No comment.

Pierre Otchick.

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