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25/12/2013

Monsanto, toujours Monsanto !



Sofía a reçu des menaces de mort et des coups 
après avoir protesté contre la construction d’une gigantesque usine Monsanto à laquelle s’opposent 70% des habitants. En solidarité avec Sofia et ces familles, créons une tempête médiatique telle que la présidente argentine devra fermer l’usine et stopper l’agriculture toxique de Monsanto: 


signez la petition

Monsanto étend son emprise sur toute la planète. Son nouveau projet est une gigantesque usine de semences génétiquement modifiées en Argentine. Sofia Gatica et ses voisins ont eu le courage de s’interposer, et elle a reçu des menaces de mort et des coups violents. La menace est imminente. Mobilisons-nous à leurs côtés et stoppons la construction de l’usine mutante.   

Monsanto crée des semences génétiquement modifiées. Combinées à des pesticides toxiques, elles sont utilisées en monoculture: dans ces champs, rien d’autre ne pousse. Ce procédé est 
une plaie pour nos écosystèmes. Or aujourd’hui, l’entreprise projette de bâtir l’une des plus grandes usines de semences OGM dans la petite ville de Malvinas. 

Inquiets des risques sanitaires liés à l’usine, Sofia et ses voisins ont rejoint des manifestations soutenues par 70% des habitants de la région. Si nous sommes 1 million à soutenir les familles de Malvinas d’ici 2 jours, nous créerons un buzz médiatique puis nous mettrons la pétition au centre d’une campagne publicitaire visant à pousser l’impopulaire présidente argentine à fermer l’usine et endiguer la propagation de l’agriculture toxique prônée par Monsanto:

https://secure.avaaz.org/fr/stop_monsanto_in_argentina_global_/?bnEombb&v=32972 

Sofia et les habitants de Malvinas se sont allongés devant les bulldozers pour bloquer la construction de l'usine. Si nous amplifions leur appel, ils pourraient gagner. La présidente Cristina Kirchner fait face à une vague d’impopularité: elle ne peut pas se permettre de passer pour une dirigeante qui fait passer les intérêts de Monsanto avant ceux de ses concitoyens.

[...] dans le terrifiant monde selon Monsanto. Les plantes y sont génétiquement programmées pour être stériles, et la seule manière pour les agriculteurs de continuer à les cultiver est de racheter chaque année les graines Monsanto. Aux États-Unis, certaines espèces cultivées proviennent à 90% des usines Monsanto, et avec ce nouveau site en Argentine, cette entreprise de sinistre réputation étendra encore un peu plus son emprise sur la planète.   
Les menaces et les coups portés à Sofia ainsi qu’à ses camarades de lutte sont la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Stoppons l’invasion de Monsanto en Amérique du Sud et tentons de réparer les dégâts commis sur nos écosystèmes! 


No comment.

 

20/12/2013

Le Monde Diplo, l'Etat et nous

Mon mensuel préféré vient de lancer un cri d'indignation devant la façon qu'a l'État d'aider la presse.

La publication par le ministère de la culture et de la communication du tableau des deux cents titres de presse les plus aidés en 2012 permet d'apprécier la sollicitude des pouvoirs publics envers Le Monde diplomatique.

Notre journal se classe au 178ème rang. C'est-à-dire très loin derrière des publications aussi cossues et adorées des annonceurs que Le Nouvel Observateur(8ème), L'Express (9ème), Télé7jours (10ème), Paris Match (12ème) et Valeurs Actuelles .

Plus édifiant, des titres aussi indispensables au débat public que [...] Point de Vue (86ème), Journal de Mickey(93ème), Gala (95ème), [...] se retrouvent devant Le Monde diplomatique...

Un rapport récent de la Cour des comptes a estimé que les aides publiques représentaient entre 7,5 % et 11 % du chiffre d'affaires global des éditeurs (1). Dans le cas du Monde diplomatique, [...], cette proportion est plus proche de 2%. [...]

L'an prochain, il est possible que nous ne figurions plus du tout dans le tableau du ministère de la culture. En effet, la moitié des aides reçues par Le Monde diplomatique en 2012 l'a été au titre de notre diffusion à l'étranger. Or, en 2013, cette aide au développement de notre lectorat international a été divisée par cinq, passant de 95 900 euros à 18 600 euros. Ajoutons à cela le relèvement important des tarifs postaux qui va nous concerner, alors même que le président de la République vient d'en annuler l'essentiel pour les quotidiens et pour les magazines d'actualité hebdomadaires, et chacun pourra se faire une idée de l'affectation étrangement ciblée des aides à la presse. C'est-à-dire en définitive de l'argent des contribuables.

Le mél se termine par un appel au don. Normal : à une époque où la recherche médicale est abandonnée au Téléthon, c'est à la charité publique qu'est laissé le soin de sauver la presse de qualité, comme le social aux États-Unis. Pendant ce temps-là, la pensée unique a de beaux jours devant elle...

Pierre Otchick.

19/12/2013

Big brother, les terroristes et nous

 

Stéphanie demande aux élus de saisir en urgence le Conseil Constitutionnel pour défendre la liberté des français sur internet.

 
 

 

 

Le parlement français vient d'adopter une loi qui permet à l'État d'accéder aux données informatiques des citoyens sans demander l'avis d'un juge. Recherches sur google, emails, achats, toutes vos activités pourraient être surveillées.

Pour Stéphanie, c'est une véritable atteinte à la liberté sur internet. Elle a donc lancé une pétition sur Change.org demandant aux élus de saisir en urgence le Conseil Constitutionnel afin que celui-ci examine la conformité du texte avec nos droits fondamentaux. 

Plus de 38.000 personnes ont déjà signé et des dizaines de députés et sénateurs ont répondu positivement, mais Stéphanie a besoin d'étendre le mouvement pour que suffisamment d'élus agissent.

Cliquez ici pour signer sa pétition.

Ces nouvelles mesures de surveillance sont inclues dans la loi de programmation militaire et sont présentées comme devant permettre de mieux lutter contre le terrorisme. Mais pour plusieurs experts, elles risquent d'instaurer une véritable "dictature numérique".

Le Conseil Constitutionnel ne peut être saisi que si 60 parlementaires engagent la démarche. 49 élus de tous bords ont annoncé leur intention de saisir le Conseil Constitutionnel, en réponse directe à la pétitionIl reste donc 11 élus à convaincre. Aidez Stéphanie à y parvenir en rejoignant la mobilisation.

Cliquez ici pour signer la pétition et défendre vos libertés.

Merci d'agir pour le changement

Benjamin et l'équipe de Change.org

PS: cliquez ici pour lire un article à propos de la pétition de Stéphanie

 

 
Blog du jeudi 19 décembre 2013