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31/05/2012

Envoyons des milliers de casques bleus en Syrie !

Nos dirigeants n’en finissent plus de tergiverser sur la Syrie. A nous d’exiger des actes, et non plus des dénonciations inutiles. Signez cette pétition urgente appelant l'ONU à envoyer des milliers d'observateurs pour protéger le peuple syrien aux quatre coins du pays:

Les photos du massacre de Houla en Syrie de vendredi dernier sont presque insoutenables. Je suis consciente que parce qu’elle est née ailleurs, ma fille de 5 ans ne risque pas cet abominable sort. Encore sous le choc, je vous écris aujourd'hui car je suis convaincue qu’ensemble, nous pouvons mettre un terme à ces horreurs.

Des dizaines d'enfants gisent au sol, recouverts de sang. On peut encore lire sur leur visage l’effroi qui les a frappés juste avant de mourir. Ces corps sans vie, innocents, sont la preuve d'un abominable massacre. Ces enfants ont été abattus de sang-froid par des hommes qui avaient pour consigne de semer la terreur. Or la seule réaction des diplomates a été d'envoyer quelques observateurs de l'ONU pour "constater" les violences. De plus en plus de gouvernements expulsent leurs ambassadeurs syriens -- sans pression de notre part, ils se contenteront de ces demi-mesures diplomatiques.

L'ONU est sur le point de prendre une décision. L’envoi d’une importante délégation internationale en Syrie
dans le cadre d’un mandat de protection des civils peut empêcher les pires massacres et permettre d’aboutir à une solution diplomatique. Impossible de rester silencieux ou inactifs à la vue de ces images. Pour stopper les violences, il est nécessaire que nous parlions d’une seule voix pour exiger la protection des enfants et de leur famille. Cliquez pour appeler l'ONU à agir maintenant, puis envoyez la pétition à tous vos contacts:

http://www.avaaz.org/fr/syria_will_the_world_look_awayfr/...

 

30/05/2012

Le FMI doit laisser les peuples voter librement !

Les dirigeants européens se préparent ouvertement à couper les vivres au gouvernement élu le 17 juin s'il décide, comme le parti de gauche Syriza l'a annoncé, de dénoncer le mémorandum. Ils espèrent ainsi intimider les électeurs grecs et les convaincre de voter pour les deux partis corrompus qui ont mené la Grèce au chaos, Nouvelle Démocratie et le PASOK. Comme le dit Christine Lagarde dans son interview au Guardian, sur le ton de la plaisanterie (?), "quelqu'un a dit que si le peuple n'est pas content de son gouvernement, il n'y a qu'à changer le peuple". Une plaisanterie indécente qui n'a même pas le goût d'un lapsus...


S'ils refusent par leur vote l'austérité et la dictature des créanciers et des banques, les Irlandais et les Grecs rendront un fier service à l'Europe tout entière, en montrant aux autres peuples qu'on peut stopper la course vers l'abîme dans laquelle les dirigeants européens nous entraînent par leur cynisme et leur aveuglement. Le peuple islandais l'a déjà fait, pour son plus grand bien, en refusant par deux référendums de rembourser les créanciers de ses banques en faillite ! Attac France, avec les Attac d'Europe, exige que l'Union européenne et le FMI abandonnent toute pression à l'encontre des électeurs irlandais
et grecs.[1]

Attac France,

Paris, le 29 mai 201.


No comment.

Pierre Otchick.

[1] Le texte intégral de la déclaration d’Attac sur mon site (sous le titre Après la déclaration scandaleuse de Christine Lagarde)

 

 

 

 

 

29/05/2012

Nouvelle vague de suicides

Tous les médias en parlent. Le Monde par exemple :

Le porte-parole de la SNCF a évoqué "un week-end noir" durant ces trois jours de Pentecôte. "Nous sommes très inquiets de la progression des suicides, a-t-il ajouté. Depuis samedi, nous en avons enregistré douze sur l'ensemble du territoire." 

« Un suicide par jour sur l’ensemble du réseau SNCF.»(Fr 2)

Il faut vraiment être à bout pour en arriver là et surtout pour choisir cette façon d’en finir.

L’information m’est arrivée au moment où je lisais un article du Monde signé d’un sociologue et d’un géographe (S. Guérin et Ch. Guilluy). Encore un coup de Mère Nature ! Je cite :

Avec la hausse des prix de l'habitat et la baisse du pouvoir d'achat d'une part croissante de la population (travailleurs pauvres, salariés à temps partiel contraint, retraités précarisés...), le nombre de personnes qui viennent trouver refuge à l'écart des grands centres urbains se renforce toujours plus.(…)

Cette dynamique de dispersion, qui va souvent de pair avec une moindre densité et efficacité des services publics, de la couverture médicale, de la qualité de l'offre de loisirs et de culture, souligne de nouveaux enjeux. Dans cette France périphérique, qui cumule éloignement des services publics et de l'emploi avec hausse des coûts et des temps de transport, la présence de l'Etat doit être repensée en fonction de la fragilité sociale de ces habitants. [1]

No comment.

Pierre Otchick.



[1] Vous trouverez de plus amples extraits sur mon site (note Sociologie).