19/07/2012
Non à la casse de l’usine de PSA Aulnay
Maintenons la pression sur Peugeot et sur le gouvernement. Il est temps que les patrons comprennent qu’ils ne peuvent plus faire n’importe quoi. Licencier pour augmenter les profits, c’est fini ! Signons le tract CGT.
Nous tenons par notre signature à protester contre les projets de fermeture de l’usine Peugeot Citroën d’Aulnay-sous-Bois. Ce ne sont pas moins de 4 000 emplois qui seraient détruits en cas d’abandon par la direction du site de PSA Aulnay ! Une grande partie de ces salariés vivent en Seine Saint-Denis, département aux 121 000 demandeurs d’emploi déjà particulièrement frappé par le chômage !
Rien ne peut justifier un tel choix. PSA est une entreprise qui ne rencontre aucune difficulté financière. Ses ventes sont au plus haut niveau avec son record historique de 3,6 millions de véhicules vendus en 2010. La direction de PSA a déclaré disposer de 11 milliards d’euro de réserve. De plus, PSA reçoit en permanence des aides financières de l’Etat : aides à la recherche, dégrèvement des cotisations sociales, prêt de trois milliards d’€, prime à la casse,
Il est inadmissible que ces subventions aident ce grand groupe industriel à fermer les usines, détruire les emplois, jeter des travailleurs à la rue. Nous exigeons le maintien du site de production d’Aulnay-sous-Bois par engagement écrit et signé de la direction de PSA et du gouvernement.
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18/07/2012
Un poème chaud "... ma vulve humide ne demande qu’à..."
La déclaration d’amour
- Maya, dit-il doucement, cela fait longtemps que tu me regardes avec des vers luisants dans tes yeux de gazelle effrontée, que tu m’adresses des signes de sympathie et, je crois d’encouragement. Les pointes aigues de tes seins sont des lumières dans la nuit de mon désir ; mon pénis se dresse dès que je pense à toi, allongé sur ma natte solitaire. Mes bourses tièdes sont gonflées d’une semence fertile, qui ne demande qu’à se répandre en toi par la porte du plaisir si tu consens à l’ouvrir pour moi, et ma bouche se dessèche dans l’attente de ta langue et de la caresse de ton souffle. Tel un taureau en rut, tel un éléphant aux reins puissant, je te saillirai toute la nuit si tu veux bien. Le veux-tu ?
(…) elle répondit d’une voix qui fit naître une subite chaleur au creux des reins du jeune chasseur.
- J’ai souvent rêvé de tes mains effleurant mes seins et il m’arrive de me réveiller au milieu de la nuit, croyant te sentir à mes côtés. Ton pénis est un arbre aux solides racines, qu’aucun vent ne saurait abattre, et ma vulve humide ne demande qu’à l’accueillir entre ses lèvres brûlantes. Que ta semence me comble et me ravisse ! Que ta langue épouse la mienne ! Que nos regards demeurent à jamais rivés dans la même direction ! Oui : je souhaite, je désire, je veux que tu me montes des heures durant, tel l’infatigable rhinocéros, tel le vivace singe rouge, tel le viril éléphant !
Il n’y a pas que
Sur les bancs publics, bancs publics [que]
Les amoureux ont des gueules bien sympathiques.
Jimmy Guieu, l’écrivain de science-fiction, a imaginé cette déclaration d’amour publique de deux primitifs. Il adorait les extra-terrestres primitifs et les décrivait accueillants, accueillantes surtout. Malgré leur peau bleue ses héros terriens ne crachaient pas dessus, surtout pour leur empressement à accomplir les taches domestiques, entre autres. Cette fois-ci, ce sont deux terriens primitifs qu’il a mis en scène.
Ami lecteur, tu vas me dire : « Comment, toi, Pierre Otchick, tu lis du Jimmy Guieu ? » Je vous recommande tout particulièrement sa conception de XXIVème siècle, ses héros, business men à la recherche de planètes inconnues à coloniser… Quelle imagination, n’est-ce pas ? Tout le monde ne peut pas s’appeler Ursula Leguin!
page[1]. Les desseins de Mère Nature sont impénétrables : o
Eh oui, je dévore tout ce qui me tombe sous la main. Cela me donne une excellente idée des terriens. Et je suis tombé sur cette n peut trouver une petite fleur sur un terrain quelconque.
Poèmes d’un E.T. libertin et autres auteurs sur
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16/07/2012
Oui, il existe une arme contre la finance ! II
Bon, revenons à nos moutons. Je disais que l’appel des députés européens a été écouté. Il a débouché sur la création d’une ONG, baptisée « Financial Watch » évidemment, et dont l’efficacité augmente de jour en jour. Des experts hautement qualifiés sont maintenait salariés de l’association. Ils ont accepté un salaire 2 à 3 fois plus faible : « je fais (…) le même travail qu’avant, sauf qu’aujourd’hui je dors mieux. » nous dit l’un d’eux[1] ! Et les tenants du libéralisme échevelé continuent d’affirmer que seul le profit est moteur humain ! Encore une preuve du contraire. Mais ce n’est pas tout, Financial Watch regroupe des ONG (le secours catholique, Attac…) des syndicats, des associations, qui représentent ensemble près de 100 millions d’européens. En un an ! Avaaz est enfoncée. Bravo !
Maintenait, au boulot ! Et ce n’est pas facile devant des financiers qui inventent des produits tortueux et qui dépensent chaque année, à Bruxelles, plus de 300 millions d’euros pour rémunérer quelque 700 lobbyistes ! Un exemple : L’ONG se bat depuis des mois contre le trading haute fréquence (…). En mars un rapport du Parlement européen semblait lui donner raison en souhaitant encadrer ces transactions financières à grande vitesse réalisées grâce à des algorithmes informatiques. (…) Depuis le lobbying s’est déchaîné et le Parlement semble lui donner raison…
Ce n’est qu’un début, continuons le… combat !
Pierre Otchick.
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