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30/07/2011

Libéralisme II

 

 

Revenons sur l’adage « Libéralisme égale capitalisme ». Je laisse Noam Chomsky répondre à ma place. Pour lui, le libéralisme n’existe pas. Nous sommes dans une économie dirigiste avec des états au service du capital. Beaucoup disent « On libéralise les profits et on socialise les pertes ». C’est vrai ! Un exemple récent : la dette grecque.

[Cela] revient à un transfert du risque du secteur privé vers le public. Car c'est l'Europe qui se porte garante en dernier ressort.

http://www.mediapart.fr/journal/economie/220711/crise-de-...

Vous remarquez en passant qu’en prenant cette décision l’Europe avoue qu’il n’y avait pas de solution dans le cadre d’un libéralisme sauvage. Je ne suis pas contre cette garantie, mais à condition qu’elle s’appuie sur un fonds financé par les hyper profits du capital, et pas par le contribuable.

Autre exemple de dirigisme, récent lui aussi : la loi Nome (Nouvelle Organisation du Marché de l’Énergie) qui oblige EDF à vendre le quart de sa production d’électricité à ses concurrents à un tarif préférentiel. Le manque à gagner ? C’est le consommateur qui paiera ! Tout cela au nom du traité de Lisbonne et du dogme sacro-saint de la libre concurrence. Et au nom de cette «liberté », on prend une mesure dirigiste ! Vous avez compris la logique ? C’est simple, le consommateur doit payer pour augmenter les profits ! CQFD !

 

Tout Mon Dictionnaire Anarchiste sur :

http://www.libertins.libertaires.sitew.com/#Page_5.F

29/07/2011

Sauvons les disparus de Syrie

 

Cette semaine, j’ai l’impression de n’être qu’une boite à lettre à pétitions, mais il faut secouer la communauté internationale. Sa passivité vis-à-vis de la Syrie est scandaleuse.

Pierre Otchick


Le fils de Muntaha, âgé de seize ans, a été enlevé par les forces de sécurité syriennes il y a deux mois -- c'est l'un des 3 000 Syriens "disparus" à ce jour. L'Inde, le Brésil et l'Afrique du Sud entretiennent des relations étroites avec la Syrie et pourraient obtenir l'envoi d'une délégation internationale pour les droits humains afin de rechercher les disparus, mais ces pays n'agiront pas sans une pression mondiale. Ensemble, retrouvons le fils de Muntaha:


Le fils de Muntaha, âgé de seize ans, a été enlevé lors d'une manifestation pacifique pour la démocratie par les forces de sécurité syriennes. Sa mère a passé les huit dernières semaines à sillonner le pays pour retrouver son fils, bravant les menaces du régime syrien de faire "disparaître" son autre fils si elle poursuivait ses recherches. Notre action d'urgence aujourd'hui peut aider son fils et les milliers d'autres Syriens disparus.

Depuis le mois de mars, près de 3 000 personnes ont été enlevées par les forces du régime et ont disparu dans des prisons secrètes. La communauté internationale s'est exprimée, mais n'a pas agi suffisamment pour enrayer ces attaques -- or, l'Inde, le Brésil et l'Afrique du Sud entretiennent des relations étroites avec la Syrie et pourraient obtenir l'envoi d'une délégation internationale pour les droits humains afin de rechercher les disparus et permettre aux familles de retrouver leurs proches.

(…). Signez la pétition

https://secure.avaaz.org/fr/syrias_disappeared_fr/?vl

Tout le Journal avec photos sur :

http://www.libertins.libertaires.sitew.com/#Page_4.E

 

 

28/07/2011

Mauritanie : halte à la confiscation des terres !

 

Encore une pétition ? Il m'en arrive de tous les côtés ! Eh oui ! Tant que les états seront au servie du capital et non des peuples, on ne pourra pas relâcher la pression.

 

Le 13 juin dernier, la préfecture de Boghé, dans le Sud de la Mauritanie, a annoncé aux habitant-e-s de la région qu'ils avaient 60 jours pour prouver leur propriété sur leurs propres terres.

Le gouvernement souhaite en effet "mettre à disposition" 40 000 hectares de terres cultivables en faveur d'une entreprise étrangère.

Des dizaines de milliers de personnes vivent sur ces terres où elles cultivent leur nourriture et font paître leurs troupeaux. Elles craignent d'en être expulsées sans la moindre compensation.

Peuples Solidaires et le Comité de Suivi de la Sécurité Alimentaire (CSSA) mauritanien demandent au gouvernement d'abandonner ce projet.

Aidez-nous à soutenir les populations de la région de Boghé ! 

Agissez maintenant !

http://www.peuples-solidaires.org/appel-urgent_mauritanie/