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21/11/2013

Mes "Coquines" rééditées en 12x19 I

Souvenez-vous, Pauline et Pierre font de l'escalade.

Quel ne fut pas notre étonnement de constater que nous étions dans un véritble courant d'air chaud. Il montait le long de la cheminée, faisait voler ma chemise... et sa jupe. [...] Elle avait carrément écarté les pieds. Le vent gonflait la jupe comme un ballon. J'étais tétanisé par ce que je voyais. Tout ce que je n'avais fait qu'entrevoir ou deviner était là sous me yeux : les deux rondeurs tant convoitées, bien sûr ! Mais surtout, ce petit nid douillet couvert d'un fin duvet tout noir. J'en avais le souffle coupé1.

Bonne lecture ami lecteur. Si tu es choqué, n'hésite pas à le dire. Tu ne seras pas le premier. C'est déjà fait.

Pierre Otchick.

P.S. Je suis furieux. Mère Nature m'a joué un sale tour. Ce n'est vraiment pas sympa ! Pour une raison inconnue et, comme on dit, totalement indépendante de notre volonté, le fichier qui a servi à cette édition n'est pas corrigé. Il est bourré de coquilles et même de fautes d'orthographe !

C'est promis, c'est juré, je ne prendrai plus ma secrétaire sur mes genoux ! En attendant les corrections, ami lecteur, pardonne-moi.

 

Note du samedi 23 novembre 2013.

1 Coquines ou les Mémoires d'un vilain petit canard, Les éditions du net, p 15, 74 p, 8 € en pdf, 11 € sur papier.

20/11/2013

J'ai le droit d'aller voir une prostituée

Prohibition IX1

Même si ça ne m'est pas arrivé, j'en ai le droit le plus strict ! "L'état n'a pas à légiférer sur l'activité sexuelle des individus, à dire ce qui est bien ou mal !" C'est ce qu'affirme entre autres Elisabeth Badinter dans Le Monde d'hier (mardi 19).

« Je ne connais aucune prohibition qui fonctionne. Elle démultiplie le pouvoir des mafieux»

No comment.

Pierre Otchick.


19/11/2013

La droite touchée par le Saint-Esprit ?

Ou plus exactement, un élu de droite touché par le St-Esprit. On savait Jean-Paul Delevoye sensible aux problèmes sociaux, mais jusqu'à présent, il n'en n'avait pas tiré les conclusions politiques. Pas de remise en cause des structures ni des mentalités. Aujourd'hui, c'est chose faite. Il l'a dit à Rue89 en annonçant son soutien à un candidat socialiste et sa rupture avec l'UMP. Mais ça, ce n'est pas nouveau : je t'ai toujours dit que le PS était la nouvelle droite. Écoutons plutôt ce qu'il nous raconte (je n'ai pas noté les coupures et c'est moi qui souligne).

La politique lasse, 70% des Français n’ont plus confiance dans les partis (sondage Cevipof 2013), Delevoye s’exaspère :

« Les hommes politiques sont tous dans la primaire, dans la conquête, dans le conflit des personnes.»

Ma conviction, c’est qu’on va passer d’une société de la performance à la société de l’épanouissement.

La question, c’est : comment être épanoui avec moins d’argent ? Il faut passer à une société de partage : colocation, covoiturage, partage de nurses… Il faut passer d’une société du bien à une société du lien.

On a vu des salariés se mettre en Scop et sauver des entreprises qui avaient été mises en dépôt de bilan par des fonds de pension qui ne cherchaient que la rentabilité maximale. On a le même hiatus avec la classe politique. Les citoyens ne sont pas contre la politique, il n’y a jamais eu autant d’attente politique. On ne souffre pas d’un excès de politique mais d’un excès de politiciens.

Le pouvoir est déjà en train de partir vers le local. L’anémie nationale sera renforcée par les forces locales. Il faut libérer les forces du territoire. On a des optimismes locaux mais un pessimisme national.

No comment.

Pierre Otchick.